Un métier d’innovateurs
Offrir aux chercheurs académiques le moyen de transformer leurs inventions en produits commercialisés.
Créateurs d'entreprises, Company builders, start‑up studio… autant de termes pour définir l'activité de Quattrocento, mais lorsque nous nous interrogeons sur la nature profonde de notre métier, une synthèse fait l’unanimité : innovateurs en sciences du vivant. Nous identifions les inventions scientifiques et médicales prometteuses dans les laboratoires de recherche français et les transformons en produits qui répondent à des besoins. Nous créons des entreprises qui placent l’usage au cœur de leur développement et nous les pilotons jusqu’à la commercialisation de produits en adéquation avec les attentes de nos utilisateurs. Au sein de Quattrocento, le travail collectif prime, les expertises sont multiples et se répondent avec complémentarité sur toute la chaîne de valeur nécessaire pour passer d’une idée à la création d’une entreprise, puis aux ventes. Le tout dans un lieu indispensable à notre métier où se côtoient 520 m2 d'ateliers de prototypage, de laboratoires de recherche, d'espaces de brainstorming ou de bureaux mobiles accueillant les business développeurs… Bref, une ruche en effervescence qui a trouvé son adresse au cœur d’un des plus hauts lieux de la recherche académique.

Quattrocento n’est pas un inventeur, c’est un innovateur !
Un domaine en pleine effervescence
Les sciences du vivant, une révolution scientifique qui ne fait pas — encore — de bruit
Après celle du numérique, les sciences du vivant traversent à leur tour une véritable mutation, avec des tournants scientifiques qui bouleversent les connaissances et le champ des possibles. Nous avons fait de ce secteur en pleine expansion notre terrain d’expérimentation privilégié, en nous spécialisant dans les « pelles et les pioches », c’est-à-dire les équipements, les dispositifs médicaux, les réactifs innovants, pour ce secteur en pleine révolution. Les outils que Quattrocento développe au sein de ses filiales s’appuient sur les dernières technologies innovantes mises au point dans les laboratoires de recherche, laissant entrevoir les applications du futur pour une médecine plus personnalisée.
Les applications
- Diagnostic in vitro point‑of‑care
- Hadronthérapie
- Ingénierie cellulaire et tissulaire
- Imagerie cellulaire
- Diagnostic des maladies osseuses ou des pathologies digestives
- Outils pour la médecine régénératrice et la médecine personnalisée
- Tests cellulaires pour l’oncologie, la neurobiologie et l’immunologie
- Détection de micro-organismes dans le microbiote, la production de vaccins, la phagothérapie
Un modèle de développement
Quattrocento est un industriel qui développe des projets en son sein avant de les essaimer sous forme de start‑up.
Point de départ de notre aventure, un constat simple : les laboratoires de recherche français sont de très haut niveau scientifique et regorgent d’inventions inexploitées. Les chercheurs français sont des professionnels avec de nombreuses idées qu’ils ont envie de voir se développer pour révolutionner les usages. Mais l’histoire se complique lorsqu’il s’agit de passer de la théorie à la pratique, de l’invention à la mise sur le marché. C’est l’un des rôles de Quattrocento : identifier la technologie, l’éprouver en l’expérimentant nous-mêmes, évaluer son potentiel commercial et anticiper son industrialisation. Et lorsque cela s’avère prometteur, nous prenons le risque de lancer le projet, d’apporter les financements, de développer une filiale avec une équipe experte et motivée, et de la faire grandir dans les meilleures conditions.

Une collaboration scientifique
Être avec les chercheurs et les laboratoires de recherche dès le départ, l’indispensable clé du succès.
Les chercheurs à l’origine des idées repérées par nos experts font partie intégrante du processus. Car il est naturel qu’ils soient associés, humainement et financièrement, dès la création des filiales. Ce sont eux qui continuent à faire émerger de nouvelles avancées scientifiques dans le cadre de contrats de collaboration de recherche. Et les rôles sont bien répartis. Il y a un intérêt vertueux à ce que les chercheurs poursuivent leurs travaux académiques dans leur laboratoire, en dehors du centre opérationnel de Quattrocento : d’un côté, ils conservent leur indépendance et leur liberté, de l’autre, nous gardons ainsi des relations de proximité avec les laboratoires. Une façon de soutenir les inventions pour mieux stimuler l’innovation.

Vincent Studer
Alvéole
« Ce qui est vraiment particulier et intéressant avec Quattrocento c’est tout le réseau d’experts qui est autour, des compétences en bureau d’études, en informatique, en passant par le marketing et la gestion d’entreprise : ça permet au chercheur de rester chercheur. À l’origine de l’invention, j’ai été au cœur du process en étant très impliqué dans le transfert technologique : depuis qu’Alvéole est autonome, j’agis en consultance sur l’accompagnement et la R&D des produits futurs. Quattrocento est un modèle vraiment original car les équipes ont fait un effort que peu d’autres ont fait, à savoir de prendre le temps d’aller dans les laboratoires, d’échanger avec les chercheurs, d’aller chercher ce qui se fait d’intéressant. D’ailleurs, cette philosophie d’être au plus proche de la science, on la retrouve dans les locaux, où il y a une grande partie allouée aux labos. Ce qui veut dire que désormais, Quattrocento va pouvoir héberger des projets de recherche de l’idée jusqu’au prototype, et ce de façon très intégrée. Cet outil va leur permettre de gagner un temps précieux. »

Damien Marchal
Elice
« Nous avons créé Elice ensemble. J’avais mon idée de départ mais je cherchais des gens pour m’accompagner sur ce que je ne savais pas faire. Le modèle Quattrocento est extrêmement pertinent car il apporte une complémentarité de compétences au chercheur. Les réflexions se font en commun, mais l’équipe a une une façon de procéder très rapide, avec un grand sens des opportunités marché. D’ailleurs Quattrocento est très clair sur ce point : une nouvelle technologie n’a du sens que s’il y a un marché derrière. Ce sont des gens d’une grande confiance. S’il fallait recommencer l’histoire, je referais exactement la même chose avec eux. »

Jean-Gabriel Minonzio
Azalée
« J’ai rencontré les membres de Quattrocento en 2010. J’avais déjà cette idée de la mesure de la qualité osseuse par ondes guidées, que j’avais commencé à tester dans la continuité des travaux déjà menés au Laboratoire d’Imagerie Biomédicale (LIB) par les autres membres fondateurs d’Azalée, Emmanuel Bossy, Maryline Talmant et Pascal Laugier. Les contrats de collaboration signés entre Quattrocento et le laboratoire ont permis la fabrication d’un nouveau prototype qui a pu être testé en “conditions réelles“, notamment à l’hôpital Cochin.
L’un des grands intérêts de Quattrocento c’est qu’ils ont déjà une expérience précieuse dans la création d’entreprises innovantes issues de travaux de laboratoires. Ils connaissent tous les maillons de la chaîne de développement, savent comment parler aux chercheurs, aux tutelles multiples (CNRS, Université, service de valorisation…), aux sous-traitants, et arrivent toujours à trouver les meilleures combinaisons d’interlocuteurs. Ils solutionnent, mais surtout, ils s’inscrivent dans la durée. Les équipes Quattrocento nous ont toujours motivé à persévérer, car le danger sur ce genre de projets, c’est que les solutions arrivent progressivement et que les difficultés restantes tendent à décourager. Mais Quattrocento est là, la collaboration est naturelle, et c’est vraiment précieux. Parce que soyons clairs, on s’est quand même lancés dans un domaine encore très mal connu où peu de personnes osent s’aventurer ».

Virgile Viasnoff
Pickcell
« J’ai un contrat de collaboration avec Quattrocento dans le cadre de Pickcell, et mon laboratoire utilise une technologie qui vient d’Alvéole, une autre filiale. C’est ça qui est intéressant dans le modèle Quattrocento. Tout d’abord, ils prennent une place qui est extrêmement nécessaire en recherche : sans ce genre d’initiative, c’est très dur de faire du translationnel, c’est à dire, dans ce cas, de prendre ce qui existe dans un labo et de le transformer en un produit. Leur but est de créer de la valeur. Et ce qui est fascinant, à terme, c’est justement de voir comment les différentes filiales créées vont avoir une valeur ajoutée démultipliée lorsque les technologies seront conjuguées. A date, le modèle est assez unique et fonctionne beaucoup à la confiance. Les gens se connaissent bien, c’est très humain, presque familial, avec une vraie authenticité dans l’envie qu’ont les équipes de travailler ensemble. »
Des filiales dédiées aux équipements pour les sciences de la vie et aux dispositifs médicaux
Outils de contrôle du micro-environnement cellulaire, séquençage de l’ADN par électrochimie, détection des fragilités osseuses par ultrasons… autant de technologies innovantes développées par des équipes de spécialistes
Pour chaque invention dont le potentiel a été identifié, Quattrocento crée une filiale et constitue autour du noyau de chercheurs académiques une « équipe projet » complète, réunissant les fonctions nécessaires au démarrage de l’activité de l’entreprise : marketing, gestion, développement produit et science. Le bon fonctionnement des start‑up est assuré grâce à l’expérience d’une équipe dirigeante éprouvée (certains collaborateurs ont été déterminants dans la réussite d’Echosens, qui est devenue une société leader du diagnostic non-invasif en hépatologie) et à un réseau d’associés construit de façon communautaire auquel s’est jointe la French Tech (BPI). Une sorte de modèle smart money, où argent et compétences vont de pair.

Alvéole

Une solution complète pour contrôler précisément l’environnement en protéines des cellules vivantes à l’échelle de la cellule unique.
Les équipes d’Alvéole ont développé une technique innovante d’impression de protéines (par photolithographie), permettant de créer sur des supports de culture cellulaire des « micropatterns », c’est-à-dire des patrons de protéines de quelques microns, et d’ainsi pouvoir, tel un couturier, contrôler très précisément la forme et la prolifération de cellules vivantes… Cette technologie ouvre de nouvelles possibilités avec de multiples domaines d’applications, tels que la recherche sur les cellules souches et la médecine régénératrice, les tests cellulaires pour réduire les expérimentation animale dans la mise au point de médicaments, la thérapie ciblée en travaillant directement sur les cellules du patient. Alvéole s’inscrit dans la volonté de fournir aux chercheurs des outils de contrôle du micro-environnement cellulaire qui contribuent à répondre à certains des enjeux majeurs de santé publique : cancer, immunologie, neurobiologie, médecine régénératrice…

Easy Life Science

Dispositifs, consommables et réactifs innovants pour la détection d’ADN pour le diagnostic point-of-care.
En s’appuyant sur la technologie brevetée DETSCAN™ technologie de détection électrochimique des molécules biologiques (ADN, ARN, protéines), - Elice (acronyme revisité d’Easy Life Science) a mis au point une solution complète de détection de l’ADN. Dispositif, consommable et réactif permettent de réaliser toutes les expériences standards de détection: PCR, PCR quantitative, génotypage, détection de mutations ponctuelles, ou encore quantification. Cette technologie profite des développements de l’industrie électronique et permet de concevoir des appareillages robustes, miniatures et de faible coût de production, donc particulièrement adaptés à la mise au point de solutions pour le diagnostic point-of-care.

Myriade
Un dispositif simple d’usage et robuste pour mesurer sans marquage des nano-objets en milieu complexe.
Myriade développe un appareillage innovant et un consommable associé permettant d’étudier des particules nanométriques dans des solutions et notamment de nanoparticules biologiques tels que des virus, des phages ou des vésicules. Les applications sont le contrôle qualité des bioproductions de phage/virus, l’analyse du microbiote, la mesure des vésicules extracellulaires. Et ce pour les domaines de la phagothérapie ou de l’immunothérapie.

Idylle
Parce que les chercheurs développent et exigent les outils les plus innovants, Idylle, spécialiste des réactifs et consommables dans les sciences du vivant, a conçu pour eux une plateforme communautaire.
Idylle accélère la découverte de nouveaux produits en mettant à disposition, sur sa plateforme, les dernières innovations en matière de réactifs et consommables pour les sciences de la vie. Idylle favorise les échanges communautaires en identifiant les meilleurs « couples » concepteurs/utilisateurs grâce à des algorithmes de matching et en administrant des chaînes de discussions privilégiées. Toutes les opérations logistiques et administratives sont assurées, des fournisseurs aux clients. Avec Idylle, les chercheurs financent leur travaux, bénéficient d’expertises et gagnent en notoriété. Quant aux institutions, elles rentabilisent leurs investissements, renforcent leur image de marque et accélèrent le transfert de technologie.

Thamis

Le contrôle qualité des faisceaux de particules utilisés en hadronthérapie.
La filiale Thamis produit et commercialise des dispositifs pour le contrôle qualité des faisceaux de particules utilisés en hadronthérapie, cette méthode de traitement du cancer qui utilise un faisceau de particules (protons, ions carbone) pour détruire les cellules cancéreuses radiorésistantes et inopérables. Thamis s’appuie sur une technologie brevetée de mesure du flux de particules, basée sur l’utilisation d’une matrice de fibres plastiques scintillantes reliées à une caméra numérique. Les hodoscopes produits par Thamis permettent de mesurer le profil et l’intensité du faisceau. Ils présentent une très bonne dynamique, sont faciles d’utilisation et demandent très peu de maintenance. Une série de 40 hodoscopes a notamment été livrée en 2014 au centre d’hadronthérapie autrichien MedAustron.

Pickcell
Des micro-consommables polyvalents pour culture cellulaire 3D.
Fruit de la collaboration entre Quattrocento, le Laboratoire de Mécanobiologie de l’Université de Singapour (MBI) et l'équipe de recherche CNRS du laboratoire international associé de Singapour, Pickcell vise à développer une gamme de micro-consommables polyvalents, peu coûteux et faciles à utiliser pour la culture cellulaire en 3D. La technologie de base consiste en une membrane bio-compatible, qui peut être placée sur n'importe quel substrat afin de créer des micro-niches artificielles à l’échelle de la cellule unique, pour la culture de cellules 3D. Ses atouts ? C’est un outil entièrement personnalisable, adapté à la microscopie super haute résolution. Il permet de concevoir des tests cellulaires simples : par exemple, de triage de cellules cancéreuses en fonction de leur malignité. Les futurs produits – actuellement dans leur phase de prototypage et de validation – couvriront de nombreux besoins des chercheurs pour étudier et imager les cellules vivantes.

Azalée

Contribuer à la prévention des maladies et des traitements entraînant une fragilité osseuse
Notre filiale Azalée développe des dispositifs médicaux s’appuyant sur une technologie brevetée utilisant les ultrasons pour sonder l’os cortical et accéder à ses paramètres structuraux et mécaniques. Un premier essai pilote qui a permis de valider la preuve du concept a été mené pour l’évaluation de la fragilité de l’os cortical dans le cadre de l’ostéoporose. Un 2ème essai est en cours pour le monitoring des traitements de l’os cortical chez des enfants souffrant de maladies osseuses.
Une équipe, un état d’esprit
Personne ne travaille avec Quattrocento par hasard
Lorsque vous pénétrez dans notre atelier, des espaces de travail accueillent chercheurs et collaborateurs mais aussi les actionnaires de passage venus partager leur expertise car nous souhaitons que notre actionnariat soit également conçu de façon innovante, avec des acteurs aux compétences complémentaires qui rentrent dans l’opérationnel au gré des besoins identifiés (prototypage, design industriel, ingénierie informatique, stratégie marketing, cabinets d’études, ressources humaines…). Dans ce lieu ouvert et convivial, l'esprit d’aventure entrepreneuriale est palpable et nous tenons à ce que cette joyeuse effervescence bénéficie à chacune des entreprises que nous créons ici chaque année. Quattrocento c’est avant tout un état d’esprit : nous faisons sérieusement les choses, sans pour autant nous prendre au sérieux.

Bertrand Fourquet
Président - Fondateur
Bertrand Fourquet est un entrepreneur qui a réussi à accorder ses envies. Formé aux fusions et acquisitions chez Lazard Frères à New York, puis chez JP Morgan à Londres, il revient ensuite en France et se lance dans l'entrepreneuriat avec le développement d'une société espagnole de négoce avec la grande distribution, puis ensuite dans la création de la filiale en Espagne du groupe Distriborg. Mais c’est son intérêt profond pour les sciences (son passe temps actuel est de finir son Master de Physique) qui finit par l’emporter. C’est ainsi qu’en 2001 Bertrand fonde Echosens, une société de matériel médical innovant devenue une pme leader du diagnostic non-invasif en hépatologie. Il a dirigé pendant 7 ans cette société novatrice, devenue depuis juin 2011 filiale du groupe pharmaceutique chinois Furui. L’aventure Quattrocento apparaît alors comme une suite logique à ce parcours fait de challenges entrepreneuriaux et d’intéret scientifique. Reparti pour lancer une nouvelle start‑up en 2009 (Elice), il crée alors en 2010 le modèle Quattrocento, précurseur sur le marché français, avec la volonté de réunir sciences et industrie via la création d'entreprises innovantes qui changent la donne, à leur manière.

Luc Talini
Directeur Général
- Fondateur
Luc Talini fait partie de ces hommes qui ont l’entreprenariat dans le sang. Cet ingénieur et docteur en physique a créé sa propre activité d’expertise et conseil scientifique pour les PME immédiatement après avoir obtenu sa thèse de doctorat. Il rejoint ensuite le laboratoire de neurobiologie de l’ESPCI afin de valoriser l’activité de celui-ci dans le domaine des puces à ADN. De l’invention scientifique à la création d’entreprise il n’y a qu’un pas, qu’il franchit en créant GeneScore, une société de biotechnologie spécialisée dans la conception et la production de puces à ADN qu’il dirige jusqu’en Juin 2005. Par la suite, ses activités sont multiples : il est directeur général du CEDIB - un projet pour la création d’un centre d’innovation en bioengineering - puis chargé d’affaires au service de valorisation de l’Université Paris Diderot, avant de devenir responsable du développement technologique chez Echosens. Il fonde Quattrocento en 2010 avec Bertrand Fourquet et en est depuis les débuts le Directeur Général.

David Poizat
Directeur Technique et Qualité
Après deux ans de développement en instrumentation optique, cet ingénieur en physique rejoint la société Echosens en 2003 afin de prendre en charge l’industrialisation et la production du dispositif médical Fibroscan, dont la commercialisation débute tout juste. Solutionneur hors pair, il est rapidement conduit à élargir ses domaines de connaissance : d’abord en se voyant confier la responsabilité du marquage CE et du système Qualité qui devient certifié ISO 13485 en 2005, puis en dirigeant l’activité de Service Après-Vente. Il devient ainsi très largement aguerri aux problématiques de transfert industriel sous assurance Qualité. En 2011, il rejoint l’équipe de Quattrocento en tant que Directeur Technique et Qualité pour coordonner les développements industriels des projets dans chacune des filiales.

Florent Trincali
Responsable Administratif et Financier
Tout d’abord diplômé de l’école de commerce IPAG, Florent s’est ensuite spécialisé en Contrôle de Gestion avec un Mastère EDHEC. Il démarre sa carrière professionnelle chez Alstom où il occupera différents postes : contrôleur de gestion dans la division Transport pour commencer, il mettra ensuite en place le contrôle de gestion des produits de signalisation ferroviaire en développement. Il rejoint par la suite le siège du groupe pour y officier en qualité de contrôleur de gestion Corporate. Ayant un attrait particulier pour la R&D, c’est en ce sens qu’il rejoint la société Vallourec, où il développera la consolidation et l’analyse des coûts de Recherche & Développement du groupe. Définitivement intéressé par des entreprises où la dimension innovation est prépondérante, et en quête de nouveaux challenges dans une société à taille humaine où nombre de développements sont à imaginer, il intègre l’équipe de Quattrocento en qualité de Responsable Administratif et Financier en 2016. Son rôle auprès des différentes filiales est clé, et son talent relationnel lui permet d’assurer ses missions avec une grande transversalité.

Un esprit d’aventure entrepreneuriale combiné à celui d’artisanat
